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Artiste peintre

 

De la matière à la lumière

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De la matière à la lumière

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Le Peintre

Christian WEPPE, de son nom d’artiste Chris, naît le 6 décembre 1955 à Sains-en Gohelle dans le Pas-de-Calais et c’est à l’âge de 10 ans qu’il commence à peindre en autodidacte.

 

 

Deux hauts personnages de l’art pictural ont très tôt une influence majeure dans sa création : les peintres Rembrandt et Vermeer qu’il découvre lors d’un déplacement à Amsterdam en 1971.

 

À 21 ans Chris obtient sa première distinction avec le 1er Grand Prix de la Fondation Besserat de Bellefon à REIMS, consolidé deux ans plus tard par le 1er Grand Prix International de DEAUVILLE. 

 

Les nominations et les expositions se succèdent ainsi jusqu’à nos jours. Il recevra par exemple en 2016 le Prix Européen de la Francophonie Léopold Sédar Senghor par le Cénacle Européen à PARIS, ou exposera sa toile « Hommage à Ravel » commandée en 2020 par la ville du TOUQUET pour l’inauguration de la refonte du Palais des Congrés.

 

 

Tout le tempérament du peintre se révèle dans cet autoportrait de 1979 qu'il compose à l'âge de 24 ans.

Philippe Decroix, Conservateur du musée de Béthune écrit d’ailleurs à son propos : « Chris, un tempérament qui n’a pas attendu la maturité pour se manifester et s’affirmer en toute bonne foi »

 

 

Pour Chris la musique est intimement liée à la peinture et c’est aux rythmes de Bach, Mozart, Beethoven, Ravel ou Debussy que les formes se façonnent sur ses toiles.

C’est ce que traduit le musicien Claude Bolling : « Les formes et les couleurs de Chris sont musicales, de même que le son jazzistique de Duke est pictural »

 

 

Chris nous fait aussi approcher le sublime avec ses représentations de vitrail, du Golgotha, de la Nymphe, de son Chemin de Croix ou encore de ses personnages tout juste suggérés : il nous ouvre là les portes du Sacré.

Angélique Brunelle dans son Journal des Grandes Écoles et Universités écrit à ce sujet : « Nous assistons alors dans sa peinture à un élan spirituel, presque mystique dans ce rapport sincère et généreux à la nature, à l'homme et à la création, une sorte de quête vers l’absolu »

 

 

Lorsqu’on découvre le répertoire de Chris, on est ébloui par la richesse de son catalogue particulièrement atypique et dont la variété des thèmes semble sans limites. Aux côtés des traditionnels portraits et paysages, des marines ou des bouquets fleuris, Chris nous dévoile tout un univers marqué par l’empreinte du temps : 

« Des vieux vélos, des parapluies déchirés, des carcasses de navire, des murs dont le torchis laisse apparaître la trame de bois, des sacs au cuir craquelé, des récipients rongés par la rouille, des pantins aux teintes délavées, des façades vénitiennes altérées par l’eau de mer… »

 

 

Dans quel creuset Chris peut-il bien donner naissance à ses œuvres ? La réponse vient en ouvrant la porte de son atelier : partout des toiles, des pinceaux, des couteaux, des flacons d’huiles, des résines diverses, des vernis, des pigments, des tubes de couleurs…  C’est dans ce capharnaüm apparent que l’artiste évolue avec aisance car finalement, tout y est parfaitement à sa place.

« Je ne me souviens pas avoir vu, sauf peut-être chez Bacon, un atelier aussi singulièrement chaotique jusqu’à l’inénarrable » nous confie Michel Bénard, Lauréat de l’Académie Française, Pœta Honoris Causa.

 

 

Autant Chris règne en maître dans cet univers où s’exprime sa nature un peu solitaire, autant préfère-t-il se tenir à l'écart des lieux publics, peu propices à une certaine réserve naturelle.

Les soutiens lui sont donc précieux, tel celui du peintre Georges Arditi, père du comédien : « Je ne suis pas étranger à la réputation de Chris et je découvre avec plaisir les qualités de sa propre peinture, dont je fis tant part dans mon entourage »

 

 

Cette réserve naturelle de Chris explique sans doute le fait qu’il ne soit pas autant médiatisé qu’il le devrait, alors qu’il compte des dizaines de collectionneurs et que le nombre de ses toiles est tout à fait impressionnant.

C’est sur ce constat que Ludovic Duhamel, Critique d'art et Directeur de Publication du magazine Miroir de l’Art, précise dans son numéro Hors-Série de 2005 : « Voilà pourquoi Miroir de l’Art se devait de mettre Chris en avant et en tout premier lieu son œuvre riche et variée »

 

 

De la matière à la lumière


Sa peinture
 

Autodidacte, Chris se forme en observant les maîtres anciens et la nature. Il est fasciné par l’aura puissante qui émane des toiles de Rembrandt et de Vermeer au point qu’il veut acquérir une connaissance profonde de cette matière qui deviendra source de lumière.

 

Le critique d’art Bernard Gauthron évoque le côté très terrien de Chris : « La peinture a cette densité que l’on retrouve chez les hommes qui restent en contact avec la terre et chez ceux pour qui la vocation s’est affirmée très jeune, comme une seconde nature »

 

Si Chris s’initie aux différentes techniques de peinture, très vite c’est l’huile qui s’impose à lui pour exprimer la richesse de nos cinq sens. Cette véritable communion avec la matière, Chris la vit dans chacune de ses toiles, quel qu’en soit le thème, des personnages aux objets en passant par le végétal ou le minéral.

 

Tout débute par le choix du format de la toile, support à l’enduction de couches successives d’épaisseurs très inégales d'une matière semi-pâteuse : le « blanc d’argent ». Après séchage vient le moment du mouillage, sorte d’imprégnation de ce « blanc » par un liquide coloré qui s’immisce dans les moindres parcelles de la pâte blanche, ce qui donne à la toile sa tonalité et préfigure le sujet. Car ce n'est qu'au cours de l’apposition successive de glacis, dernière étape avant le vernissage, que le sujet prend réellement sa forme finale.

 

« Cette démarche dépouillée impose le renoncement à la facilité à la faveur d'une écriture où le trait unit la force et la grâce. Elle fait de Chris le messager d'un monde dont la surface aride ne parvient pas à dissimuler le cœur »., écrit Paul LOMBARD, avocat, écrivain, historien et amateur d'Arts.

 

À l’instar de ses « Mentors », Chris jongle harmonieusement avec les pigments les plus variés : le lapis-lazuli, les ocres, les roux, les bruns, le rouge. Les glacis nous révèlent de merveilleuses senteurs : la térébenthine (résine du pin), l’huile de lin ou celle de noix, ou encore le mastic de Chios.

 

C’est  avec ces glacis que commence le voyage et que la lumière surgit de la matière.

C’est ce que commente le journaliste Michel Destombes en parlant de Chris : « Matière et glacis, c’est là toute sa technique »

 

 

De la matière à la lumière


Témoignages
 

 1/7


R.G MISCHKIND - Expert en Œuvres d'Art
 

« Livres, jouets, bibelots, poteries, tout cela est vu et recomposé avec rigueur mais sans austérité, le tout en une gamme sobre mais pleine de résonances où dominent les ocres bruns, les jaunes colza, les verts lichen, les rouges assourdis, ce qui une fois le premier regard posé nous donne l'envie d'aller plus loin ...

… et de trouver au-delà des apparences tout le langage mystérieux mais à la longue audible qui se chuchote tout au cœur du bois sacré, là où se réunissent mêlant leurs danses et leurs chants initiatiques les Génies du lieu et leurs amis les Peintres.

En survolant avec Chris le mur enchanté qui sépare le visible du non visible, vous découvrirez les horizons révélés d'un nouveau et fascinant voyage »

 

2/7


Michel BÉNARD – Lauréat de l’Académie Française – Pœta Honoris Causa
 

« Pareille à l’homme, la peinture de Christian WEPPE, dit « Chris », est généreuse, abondante, riche et porteuse de lumière ; c’est un véritable souffle de vie évoluant aux rythmes de thèmes variés, de phases de vie et des mystères de la matière.

CHRIS est un artiste connu et reconnu dont l’œuvre exemplaire se pérennisera et prendra la place qui lui reviendra naturellement dans l’histoire de l’art.

L’art n’a rien d’éphémère ni de superficiel, c’est une longue et constante mutation »

 

 

3/7


Marc HÉRISSÉ (Gazette de l’Hôtel Drouot)
 

« Les peintures matiéristes de cet artiste sont empreintes de spiritualité. Exécutées dans un chaud chromatisme de bruns, d’ocres, de roux et d’éclats solaires, elles nous parlent du temps qui érode toutes choses pour les conduire à leur disparition. 

Les contours de silhouettes qui apparaissent semblent à chaque instant prêts de disparaître. Une sourde musique plane sur cet univers de révélation où se conjuguent, me semble-t-il, l’angoisse existentielle et la sérénité de l’âme »

 

 

4/7


Angélique BRUNELLE – Journal de Grandes Écoles et Universités
 

« Toiles en désordre, odeur envoutante d’huile et de térébenthine. C’est au cœur de son atelier que le peintre Chris m’accueille chaleureusement. Rencontre exclusive avec un Artiste inclassable, dont l’œuvre intemporelle et singulière laissera sans aucun doute une trace indélébile dans les empreintes du temps. 

Au travers de ses toiles, Chris cherche à inhiber la fuite du temps et à restituer à ses sujets, par la richesse de la couleur et de la substance, leur existence, leur essence, telle une forme de résurrection qui s’inscrit dans l’éternité »

 

 

5/7


Ludovic DUHAMEL – Critique d'art, Directeur de Publication de MIROIR DE L’ART
 

« Christian WEPPE, dit Chris, sait associer à une formidable créativité une technique de grand maître. Il donne à voir une œuvre unique. 

Oui, une œuvre unique, de celles qui ne peuvent être copiées, une œuvre engagée, soutenue par un extraordinaire talent de coloriste. Une œuvre qui rallie d’année en année des collectionneurs venus de tous horizons.

Attention, on n’y entre pas aisément, ce n’est pas de l’imagerie. Cette peinture se conquiert et ne se soumet pas.

Ce n’est qu’à force d’attention que l’on pénètre un univers subtil où les couleurs et les thèmes s’imbriquent étroitement, un univers qui absorbe et, osons le mot, hypnotise »

 

 

6/7


Richard DEBLAUWE - peintre, musicien, écrivain
 

« L’être pose sur la toile, d’un geste vécu, la luminescence intérieure et se perçoit existant en chaque particule peinte.

Ce chemin est peu fréquenté mais oh combien vivifiant.

Intemporelles, drapées d’une constance lumineuse, les œuvres de Chris, telles des graines issues de faisceaux multiples, ouvrent un panel de sensations en lesquelles une réalité accueille la conscience d’être vrai. Elles s’intègrent dans le flux harmonique de la nature, participent aux respirations vibratoires de la vie. Elles rayonnent dans l’ensemble du vivant »

 

 

7/7


Nathanaël COSSART - Collectionneur
 

« L'art est fait pour jouir et donner à jouir, mais chez les grands artistes, et notamment chez Chris, la peinture fait davantage : elle transforme notre rapport au monde,... Elle nous apprend à voir, à jouir et nous réjouir de ce que nous voyons, jusqu'aux choses les plus ordinaires, les plus dérisoires, les plus insolites.

La peinture de Chris nous apprend à aimer et à rêver ce que nous n'aurions trouvé sans elle, ni beau ni digne d'intérêt.

Chaque tableau est, pour qui sait voir, une réflexion sur le monde et sur soi, souvent chez Chris, de véritables "Paysages métaphysiques" »

 

 

De la matière à la lumière

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